Poème :
À Nebel et Ryse,
Ô fils ! Que les cendres de mes serres se dissipent,
Vénéré du Concile D’Heilagur par principe,
Ne pouvant encore perpétuer ma royauté,
Quand j’eus vu de mes yeux, tout juste réveillés,
Ces bandits, que dis-je ? Ces scélérats, ici !
Profaner mes reliques sans le moindre souci.
Ô fils ! Que les cendres de mes serres disparaissent,
Vénéré des bûcherons, ils le reconnaissent,
Ne pouvant une fois de plus régner pleinement,
Quand ils eurent vu leurs bois vides, inintéressants,
C’est une terrible catastrophe. Mais qu’ai-je fait ?!
Sur ces voleurs, un cri de rage j’ai poussé,
De ce supplice, tout arbre fût déchiqueté.
Ô fils ! Que les cendres de mes serres s’enfuissent,
Étant contraint à sombrer dans ce précipice,
Vénéré par personne, je suis maintenant,
Je cherche la belle lumière qui, me guidant,
Me fera sortir de ce sombre cauchemar,
Pour pouvoir, mes fils, redorer notre gloire.
Commentaires :
Mise en place d'une atmosphère sombre et un peu dramatique,
On remarque une transcendance du sujet allant au delà de la vénération,
Pour une lecture originale, voire audacieuse dans sa recherche esthétique,
Un poème juste et plein d'inspiration.
(Si si les rimes croisées o/)