*Un homme vêtu grossièrement s'approche, parchemin à la main.*
Oyé, Oyé !
Veuillez accueillir Sir Thomas, âgé de ses seize ans !
*L'homme se décale et laisse place à une personne de petite taille au sourire absurde sur la face.*
Bonjour à tous !
Eheh, les présentations sont faites... Mais parlons quand même de moi !
Alors, je suis un lycée en 1°STI2D, je viens de devenir Sapeur Pompier et je suis un graaaaaand fan de Minecraft. En effet, j'y joue depuis sa tendre alpha aussi vide que le crâne d'une vache.
Je me présente à vous grâce au site de référencement qui vous utilisez ainsi que la beauté du travaille fournit sur votre site et votre Wiki.
Hélas, non, je ne connais personne de votre communauté qui repose sur le RP souple... Tiens, d'ailleurs, en parlant de RP souple ! Je pense que c'est une forme de RP très sympathique à jouer. Il est vrai que les règles du RP strictes nous étouffes et dans le RP souple, nous sommes toujours encadrés par le RP, aussi vaste qu'il soit.
Je mintéresse à votre serveur RP souple car ceci reste une expérience qui m'est encore inconnue à ce jours. De plus, j'aimerais implanter ma trace dans un serveur tel que le votre à travers le BG des personnage RP que je joues ainsi que mon expérience de joueur.
Je ne suis pas du tout un joueur solitaire, d'où ma venu sur un serveur. Je mintéresse à tous les jeux multijoueurs, surtout les RPG et les sandbox.
Sur ce, je vous laisse. Avec l'impatience de vous revoir, au revoir !
*se petit personnage se recule d'un pas et l'autre se remet devant lui, puis ce dernier vous donne le parchemin qu'il avait en sa Possession.*
" De ma naissance à ma première mort, j'ai vécu dans une tribu dites nomade. Elle ne l'était pas. Toute la tribu reposait sur les moutons... Leurs croyances, leurs vies, leurs quotidiens. Le mouton était sacré, de la laine qui lui pousse dessus à l'herbe qui l'entourait. Ils étaient vus comme les gardiens de la tribu, les fantômes du passé et l'origine de la vie.
Chaque Mouton se voyait pousser de la laine. Cette laine était symbolique. Elle représentait l'âme des défunts de la tribu. L'herbe qu'ils mangeaient représentait le mal qui grandissait autour de nous, ils rendaient donc cette terre pure et digne d'être habité par les "Fils du Mouton Céleste" en la broutant.
Il y a encore beaucoup à raconter sur leurs croyances, qui semble toutes belles et pleines d'espoir de satisfaire leur Dieu qui est, en fait, manipulateur. Les Moutons devenaient une obsession. Il nous monta les uns contre les autres nous forçant à prendre les armes, brûler nos tentes si grande et chaleureuse. Le visage de cette tribu douce et libre n'est qu'en fait un masque sous lequel se cache l'horrible vérité, sombre et violente...
Un soir, lorsque tout le monde dormait, Görn réveilla la tribu en hurlant. Un hurlement qui résonne dans vos curs, vous poignarde de tristesse et vous ôte les mots de la bouche. Nous étions réuni autour de lui. Malgré sa carrure de guerrier énorme, il était en pleure devant son Mouton. Un petit agneau qui gisait là, la tête rompue de son corps, baignant dans son propre sang. Görn hurlait à la trahison. Il était pâle... Mais pas pâle comme nous le sommes d'habitude, nous, Homme du nord, mais pâle de haine. Cette pâleur qui vous font reconnaitre que l'homme en question est hors de lui... Inhumain pour ma part. Il accusa son voisin le plus proche et lui promis une mort lente et douloureuse et se retira sans que personne ne puisse lui dire un seul mot. Le Ragn résida longtemps au-dessus du Mouton et neut pour seuls paroles "Görn dessinera la laine de nos Moutons...".
Des tentions sélevaient petit à petit. Nous retrouvions la tribu coupée en trois, le parti de Görn, qui voulait la place du Ragn. Le parti du Ragn qui voulait décimer celui de Görn. Et celui des Haut-Prêtres qui étaient là pour calmer les tentions et couper les conflits.
Les Haut-Prêtres étaient loin de se douter qu'ils échoueraient. En effet, une nuit je fus réveillé par des fracas métalliques et des hurlements. A travers ma tente, je ne voyais plus le mélange blanc et verdâtre que nous offrait la nature, mais une lueur rougeâtre qui m'entourait. En sortant, je ne voyais que des gens en train de se battre sur les corps de leurs amis. J'entendais crier des enfants, le hurlement de douleurs de leur mère qui venait de se faire planter par la grande hache de Görn. La haine elle-même était présente sur ce champ de bataille qui n'était qu'en faites le lieu où nous résidions en paix. Le Mouton a voulu nous voir nous entre-tuer, il l'a eu...
J'ai courus, courus sans marrêter. Je devais traverser la place principale pour sortir des flammes monstrueuses et ignobles. Ma course fût interrompue rapidement. Se dressait sur mon chemin le Ragn, la hache prête à fendre sur moi. Sa tête éclatât. Un Haut-prêtre lui avait assené un coup de marteau sur le dessus du crâne et riait, dément. Je dégainas ma petite hache et approcha du haut-prêtre qui prenait son élan pour m'écraser avec le Ragn. Je lui arrachas les tripes et son sourire moqueur disparut. J'ai poursuivit ma course, donnant des coups de hache dans tous les sens, ne touchant pas forcement les cibles.
J'étais arrivé devant lenclos principal des moutons, là où ils dorment la nuit. Un loup était là, en train de dévorer les moutons un à un. C'est à cause de lui, se foutue clébard, que tout ce qui me semblait être ma vie était en train de se consumer par cette obsession démentielle. Il se rua sur moi, ses yeux noirs fixait ma gorge. Ses crocs n'ont quatteint mon épaule. C'est à ce moment que je l'ai saisi par la gorge et est serré le plus fort possible. J'étais pris par la même démence que les autres. Je devais tuer, faire souffrir, torturer. Il lâcha prise et tenta de japper. Je l'ai plaqué à terre en appuyant de plus en plus. Il possédait une mine triste. Il n'y avait malheureusement pas de place pour la pitié dans mon cur à ce moment. Il se débattait faiblement quand tout à coup, il cessa de bouger. J'ai cherché ma hachette sur le sol. Une fois en main, je l'es utilisé pour m'acharner sur le loup. Une violence habituelle n'était pas une habitude chez moi. La salle bête n'était plus qu'un ramassis de charpie et d'os. Du moins, c'est ce que j'ai vu avant de tomber dans les pommes.
Je me suis réveillé le lendemain matin, avec les derniers moutons autour de moi. Une fois sur la place publique, j'ai remarqué que tout était de cendre et de sang. Je suis tombé sur mes genoux, les larmes aux yeux. J'ai éclaté en sanglots, je me sentais trahi, trahi par les miens, par mon Dieu, par tout ce qui m'était chère.C'est à ce moment que l'on mesure l'amour que l'on porte a quelqu'un... C'est en le perdant.
Pour moi, je n'avais qu'une issue, celle qu'avait emprunté mon peuple. Je m'étais rendu au point le plus haut de la côte et sauta. Je voyais en dessous de moi les récifs. Je sentais le vent sur ma peau comme jamais, son chant enivrant... J'ai atteint le rocher. La chute était indolore mais bruyante. Le bruit de mes os s'écrasant, puis tout à coup le noir complet.
À mon réveille, j'étais debout, les mains sur mon visage. Je les ai retiré lentement, tremblant et horrifié par les images précédentes qui était encore dans ma tête. Un mouton résidait devant moi. Il avait des cornes enroulés et il se volatilisa d'un coup.
À ce moment précis, j'ai voulu échapper au passé. Je vis dans le mensonge le plus absolu. Je mens sur mon identité, mes intentions, mes sentiments... Je vis en temps que Phillipe Appolinaire Milwer... Un bourgeois vantard et dingue...Je me suis pris de passion pour lui. Il fait mon quotidien. Mais il y a ce mouton. Il m'observe, apparait quand je suis seul... Il me répète tout le temps la même chose : " Vos ennemies vous définissent. Faites de la Haine votre ennemie, vous en deviendrez un grand homme.". Je ne comprend pas le sens de cette phrase, elle me rend fou, je vis avec cette phrase qui raisonne dans ma tête. Il dit que je ne me dois plus me cacher... Que je dois montrer le mouton que je suis. Je dois montrer que je suis...
Jorg An'Crath, Prodige du Mouton.."