Malgré l'amour sans limite pour la vie souterraine, certains nains préféraient vivre à la surface. C'est ainsi que plusieurs petits villages se formaient les pentes des montagnes.
C'est d'ailleurs d'un de ceci que les guerriers du petit peuple étaient originaires. Krak dur était prospère depuis plusieurs années déjà, créé il y a seulement deux siècles, et abriter trois cents habitant, dont la plupart travailler à la mine non loin de là.
Ce village, d'une modeste taille, ne disposer que d'une douzaine de milicien, mais ce si était des vétérans de guerre antérieur, et ne disposer pas de fortification efficace. Mais jamais ceci n'en avait eu besoin.
Cette année-là, les récoltes de la région furent maigres et annoncer un hiver difficile. Les nains quant à eux disposer, en plus de leur petit champ, une culture de champignon dans les anciennes mines désaffecter, ceci garantissait une alimentation, certes peu varier, mais sur pour l'hiver en plus du blé, et des quelques patates récolter.
Mais cette nourriture éveiller la jalousie et l'allèchement des peuples barbare de la région. Malgré le risque, les nains ne changeaient en rien leur vigilance et c'est ainsi que le drame arriva au beau milieu de l'hiver.
Une nuit de pleine lune, un groupe de pillard comptant quelque cinquante malandrins se rapprochèrent du village et se séparaient en deux.
Un premier groupe, comptant les meilleurs guerriers de la bande se lancèrent à l'assaut de l'entrer du village, ainsi une fois l'alarme sonnait les nains se focaliserai sur l'entrée et y enverrai des paysans ou des mineurs maux équiper et prit au dépourvu.
Le deuxième groupe de pillard se faufilèrent à l'autre bout du village avait localisé l'entrepôt nain et s'apprêter à le vider, mais une bande de femmes accompagner de leurs enfants fuyait les combats qui faisaient rage prêt de leur maison a l'entrée, les bandits craignant d'être repérés trop vite tout massacraient à 40 femmes et enfants sans défense puis suivirent leur objectif jusqu'à l'atteindre.
C'est alors qu'au beau milieu des combats se firent entendre un cor, et quelque seconde plus tard l'assaillant disparu dans la pénombre.
Les nains encore sous le choc des combats gardèrent leur position et ne firent pas attention aux événements tragiques qui venaient de se dérouler.
Ce n'est que quelque heure plus tard d'un jeune nain fit la macabre découverte, la population pleura ces morts tout au long de la nuit.
Mais une fois le soleil montrant ses premiers rayons, tous les nains se mirent à l'uvre pour forger des armes et renforcés leur ancienne armure. Cette tache leur prie deux journées et une nuit, mais ce délai de répits pour l'ennemi ne fut pas inutile, l'équipement des soldats était splendide, à la fois solide, et pratique.
Après avoir profité d'une dernière nuit de sommeil dans leur village, un groupe composé de tous les nains valide n'étant ni trop jeune, ni trop vieux, prirent leur arme et s'engagèrent dans une campagne victorieuse ou funeste.
Une troupe de 40 nains se forma alors dans un but commun.
Les mineurs, les paysans, les forgerons, tous devinrent dés lors des guerriers sans peur dont le courage ne pourrait ébranler par aucun événement ou élément.
La neige était tombée dans la nuit et le paysage fut magnifique pour leur départ, cette neige d'une pureté sans faille, était pour ces fiers combattants un signe de leur dieu.
Ils ne mirent que peu de temps a retrouver les traces de leurs ennemis, des traces de pas, des branches cassées, et même du sang sur un arbre, aucun doute n'était possible maintenant, les nains les retrouveront.
Cela faisait déjà une semaine que les nains s'avancer dans des terres qu'ils connaissent peu, mais dont le terrain était familier.
Les bandits avancer vite, mais les nains étaient plus rapides et les deux jours d'avance se réduire jusqu'à ce que les pillards soit à porter de vue sur l'autre versant.
Leurs ennemis avaient fait halte pour se reposer, ce fut pour les nains une obène, et ainsi, les brigands purent entendre de multiples voix au message unique. Celle-ci criant Aliborons.
Certains brigands sortirent des arbalètes et effectuèrent des tirs d'une précision inexistante du a la peur. Mais les nains invincibles dans leur esprit avancèrent sans se soucier de la douleur qui les torturait après tous ces jours loin de leur famille. À l'avant de la troupe, un nain, un triste nain ayant perdu enfants, femme, sur, neveu et niaise.
La rage guidait ses gestes, la folie guidait son esprit. Avant l'impact, on put ressentir comme un soulagement. Ce soir, notre peuple sera vengé se dirent les nains.
Puis après le calme fut la tempête, une pluie de sang tombait à grand flot.
L'odeur de sueur se rependit ainsi que la chair.
Le courroux des nains fut sans limite, ceux qui implorer la pitié eurent une mort puis triste et douloureuse. Il ne fallut que quelque minute, un quart d'heure pour dire vrai, pour que le calme regagne les environs.
Les nains prirent leurs morts et leur possession, et repartir vers leur village aussi tôt laissant les cadavres de leurs ennemis en proie au charognard.
Une fois de retour, les nains firent points la fête, les morts purent trouver la paix éternelle accompagnée de leurs armes et armures grâce auxquelles il put quitter se monde de la foncer la plus noble.
Les artisans du village prirent la peine de sculpter un mémorial aux guerriers, rappelant qu'une rancune fut effacée, mais le prix fut lourd.
De plus, malgré que les nains eurent récupéraient une petite partie de leur réserve, la fin de l'hiver s'annonça rude.
J'espère que ce petit texte Rôle Play vous aura plu.